Le féminisme des écrivaines autrichiennes Elfriede Jelinek (prix Nobel de Littérature 2004) et Elfriede Czurda n’est pas si essentialiste ni différentialiste. Il travaille sur la complexité des rapport de pouvoir, notamment sur l’impact de l’ordre symbolique et des représentations culturelles dans la construction identitaire. Il se révèle féroce et particulièrement subversif, lorsqu’il investit les images d’une féminité effrayante, monstrueuse, abjecte.